Transsibirskaïa
Concert spectacle
Caisse et portes à 16h.
Tarif normal: CHF 20.-
Tarif AVS/Etudiant/Chôm: CHF 15.-
Billets disponibles à la Mairie de Thônex et chez Optique Magnard
Une traversée de la Russie du XIXème siècle, conduite à toute vapeur, par des artistes à l’enthousiasme communicatif. C’est délirant, époustouflant, passionné, cocasse. Amour, mort, colères, extases, sarcasmes, hallucinations se succèdent à vive allure. Mélomane ou non, ce concert-spectacle vous transportera dans un état de bonheur.
Au menu : Glinka et quelques rasades de Moussorgski, des envolées princières de Borodine et des contes enchanteurs de Rimsky-Korsakov. Le facétieux maître de cérémonie se risquera même à la mise en scène impossible de la réconciliation d’une mégère cosaque avec son poivrot de mari.
Cette soirée légère et instructive est faite pour attirer le public suisse vers la culture russe.
Larissa Rosanoff, soprano
Soprano genevoise d’origine russe, Larissa Rosanoff est diplômée du Conservatoire de Lausanne (prof. Bill-Geiger) et de la Haute Ecole de Musique de Genève (prof. Diaconu). Parmi ses nombreux rôles à l’opéra on citera : Musetta, Tatiana, Manon, Pamina, Sophie, Belinda, Fiorella, Clorinda, Fiordilligi. On retrouve ses projets sur le site www.larissa.rosanoff.net.
Sacha Michon, baryton
Baryton genevois, il s’est formé à l’HEMU de Lausanne dans la classe de Gary Magby, puis auprès d’Edda Moser. Il a fait partie de l’Envol, troupe de l’Opéra de Lausanne, et s’est vu confier de nombreux rôles tels que : Germont, Marcello, Valentin, Oneguine, Tarquinius, Malatesta. On le retrouve sur www.sachamichon.com.
Ludmilla Gautheron, piano
Pianiste genevoise, elle a obtenu son diplôme de piano dans la classe d’E. Athanassova à la HEM de Genève et a poursuivi ses études en obtenant un diplôme d’accompagnement dans la classe de de J.-J Balet et U. Rüttimann. On la retrouve sur www.graindescene.ch
Vincent Aubert, metteur en scène et comédien
Vincent Aubert a d’abord sagement commencé par des études de scoences politiques avant d’embrasser le métier de clown, qui lui a permis de se produire en auguste sur une bonne partie de la planète.